Comme pour le premier tour, les campagnes électorales du second tour intègrent les enjeux de transports, de déplacements, d’environnement et d’intermodalité. Cet état de fait est consécutif aux nombreuses compétences qui ont été transférées aux collectivités par les lois LOM, NOTRe et Maptam. Les débats consacrés aux mobilités se sont révélés très constructifs. Beaucoup de candidats se sont préoccupés du vélo et des nouveaux itinéraires cyclables et également des zones à faible émission. Toutefois la logistique urbaine a été relativement occultée, comme la création de centres logistiques ou de systèmes de livraison en vélo sur le dernier kilomètre. C’est le think-tank TDIE qui retrace ces préoccupations au sein d’un rapport d’étape.